• Quik est la partie gentille de Quik-Dark, il est beau, dépressif (le but de sa dépression étant qu'il est la seule personnalité à ne pas être alcoolique), féministe et intelligent... On le reconnais dans les morceaux de Quik-Dark avec une voix normale, d'adolescent et des textes conscient (comme "Douche Chaude") ou où il s'apitoye sur son sort (comme "Écoute" en featuring avec les Septembers), ce personnage est une vraie lopette, mais il arrive qu'il devienne "méchant" (comme dans "la Pègre"), à ce moment là, il devient presque hitlérien en déclarant que le "race" des dépressif est supérieure par rapport à tout les autres gens "heureux". Il n'est toutefois pas rejetté comme Pop Hip dans Stupéflip.

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  •     L'amour a définitivement tué Sylvère, avec préméditation... Ce fait donne carte blanche à Quik-Dark pour se venger. La bataille risque d'être dure, puisque l'amour n'existe pas réellement, même si il tue...

        L'amour est un terme indéfinissable qui a été définit (comme dieu) , il n'a donc pas de corps. Par contre, la passion et surtout l'obsession sont bel et bien réels, ce sont les armes de l'amour, qui tente encore aujourd'hui de correspondre à quelque chose.

       Pour le combattre, Quik-Dark devra se contenter de l'art, avec lequel il sera à terrain ouvert face à l'amour. La haine, la drogue et le machisme sont à écarter puisque ces armes peuvent avoir des effets irréversibles sur sont utilisateur. Quik-Dark combattra donc seul, ou avec beaucoup de risques face à l'amour... Sinon il devra mourrir avec.

        Je sait que vous n'avez pas compris grand chose, mais ça m'éclate...
     


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  • Grâce à Quik-Dark, si jamais Sylvère devient heureux, il pourra continuer à parler de la dépression, sans pourrir son art, contrairement à de nombreux artistes vendus, qui ont changé de bord après avoir atteint le bonheur...

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  •     Dark est la vengeance, il est représenté par une voix grave et impériale, c'est un misogine de première classe, par rancoeur. Cette partie de Quik-Dark n'est pas suicidaire, mais meurtrière...
        Ce personnage n'a pas ou plus de conscience, ni de pitiée ; il s'est mit à dealer pour oublier ses déboires, et maintenant la drogue lui apporte plein de pétasses junkies à baiser (ne fait pas l'amour, il baise).
        Il ne conaît pas le véritable amour, ou du moins, essaye de cacher ses sentiments...
        Il écoute du gangsta rap et un peu de jazz.
        Personne ne connaît les vraies origines de ses cicatrices ; certains disent que ça date du jour ou il a violé Marilyn Manson qui ne voulait pas lui préter ses groupies.
        Dark est armé en permanence et marche seul entre les cadavres de poulets et de cocaïne, avec un regard objectif mais aussi  peu stabe que le moral des peronnages joués par Al Pacino ou De Niro...


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  • À travers la fumée d'un cigarillos (les vrais cigares sont trop chers), Sylvère SALASC-PAGANO contemple cette misérable existence sous son meilleur angle : l'illusion. Les bonheurs de le vie ne sont pas accessibles, mais même si parler de lui au troisième degré sur ce blog est ridicule, il s'en fout... il créée Quik-Dark, une sorte de jésus virtuel pour loosers... Quik-Dark n'est pas un personnage concret, mais la représentation de diverses personnalités, qui sont elles-mêmes de simples allégories de sentiments et de l'évolution sociale du perdant... Ce blog raconte l'histoire d'un type qui explique sa vie à qui veut devenir sourd, à travers les couleurs représentant l'amour déchu et la politique de gauche...

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